Le génocide au Rwanda

bonsoir les marsouins

Le génocide au Rwanda est un génocide qui eut lieu du 6 avril au 4 juillet 1994 au Rwanda, un pays d'Afrique de l'Est. Il fut commis dans le cadre d'une guerre civile opposant le gouvernement rwandais, constitué de Hutu (voir Hutu Power), au Front patriotique rwandais (FPR), accusé par les autorités d'être essentiellement « tutsi ». Le 1er octobre 1990, des Rwandais exilés et regroupés au sein du FPR décidèrent de revenir au pays à partir de l'Ouganda, et de prendre le pouvoir par les armes. En réponse, les autorités rwandaises menèrent une double stratégie[réf. nécessaire] : se défendre avec l'armée contre l'agression militaire du FPR et « liquider » tous les Tutsi de l'intérieur du Rwanda. Les autorités rwandaises perdirent la guerre civile au profit du FPR mais atteignirent par contre leur objectif génocidaire contre les Tutsi.

L'ONU estime que quelque 800 000 Rwandais, en majorité Tutsi, ont trouvé la mort durant ces trois mois[1]. Ceux qui parmi les Hutu se sont montrés solidaires des Tutsi ont été tués comme traîtres à la cause hutu. D'une durée de cent jours, ce fut le génocide le plus rapide de l'histoire et celui de plus grande ampleur en termes de nombre de morts par jour. Mais il convient de souligner qu'un génocide n'est pas qualifié comme tel en raison du nombre de morts, mais sur une analyse juridique de critères définis à l'époque par la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide du 9 décembre 1948 de l'ONU. Cette convention définit qu'un génocide est commis dans l'intention de détruire, tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux comme tel.

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bonsoir les marsouins

La composition de la force Turquoise

La force comptait 2 550 militaires de l'armée française et 500 autres venus de sept pays d'Afrique (Sénégal, Guinée-Bissau, Tchad, Mauritanie, Égypte, Niger et Congo). Elle a bénéficié d'une couverture satellitaire de l'Union de l'Europe occidentale qui lui a permis de localiser les camps de réfugiés et les colonnes en mouvement. La flotte d'Antonov du trafiquant d'armes Viktor Bout a pour l'occasion été utilisée par l'armée française pour le transfert du matériel et des troupes

Unités françaises engagées :

* Éléments de la 13e demi-brigade de Légion étrangère, du 2e régiment étranger d'infanterie, du 2e régiment étranger de parachutistes et du 6e régiment étranger de génie ;
* La moitié des effectifs du Régiment d'infanterie-chars de marine ;
* Des éléments de la 2ème batterie du 35e régiment d'artillerie parachutiste ;
* La 1ere compagnie du 3e régiment d'infanterie de marine détachée du Gabon ;
* La 3eme batterie du 11e régiment d'artillerie de marine détachée de RCA ;
* Forces spéciales : 150 hommes du Commandement des opérations spéciales (1er RPIMa, Commando Trepel et CPA 10) qui ont opéré parallèlement à des membres du GIGN et de l’EPIGN, à des équipes CRAP de la 11e DP et à des éléments du 13e RDP ;
* Deux composantes du service de santé des armées :armé principalement par le 1° Régiment Médical. l'Élément médical militaire d'intervention rapide (EMMIR) basé à Cyangugu (Rwanda) une section d'évacuation sanitaire en VAB du 1°RMed et la Bioforce à Goma (Zaïre) ;
* Eléments issus de la 11e division parachutiste : CRAP du 35e RAP, soutien et transmetteurs du 14e RPCS ;
* La 1ère compagnie du 2e RPIMa basé a la Réunion ;
* Détachement Aviation Légère De l'Armée de Terre.

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Je pense qu'il ont due oublier du monde, la CEA du 21eme Rima en compagnie Moto au Gabon ainsi que la 3eme Cie du 21 en centre Afrique...Source on y étaient Wink

tchek point à la sortie de Kigali...

bonsoir les marsouins

Comme tu le dis pepette ils ont bien oublié le 21e . et je crois que ce n'est pas la première fois
Quand tu vas sur le site de la guerre du Golfe il parle rarement du 21e et pourtant on n'y était Mad

Messages : 31 Date d'inscription : 19/03/2021 Age : 56 Localisation : Ajaccio

bruno a écrit:: bonsoir les marsouins

Le génocide au Rwanda est un génocide qui eut lieu du 6 avril au 4 juillet 1994 au Rwanda, un pays d'Afrique de l'Est. Il fut commis dans le cadre d'une guerre civile opposant le gouvernement rwandais, constitué de Hutu (voir Hutu Power), au Front patriotique rwandais (FPR), accusé par les autorités d'être essentiellement « tutsi ». Le 1er octobre 1990, des Rwandais exilés et regroupés au sein du FPR décidèrent de revenir au pays à partir de l'Ouganda, et de prendre le pouvoir par les armes. En réponse, les autorités rwandaises menèrent une double stratégie[réf. nécessaire] : se défendre avec l'armée contre l'agression militaire du FPR et « liquider » tous les Tutsi de l'intérieur du Rwanda. Les autorités rwandaises perdirent la guerre civile au profit du FPR mais atteignirent par contre leur objectif génocidaire contre les Tutsi.

L'ONU estime que quelque 800 000 Rwandais, en majorité Tutsi, ont trouvé la mort durant ces trois mois[1]. Ceux qui parmi les Hutu se sont montrés solidaires des Tutsi ont été tués comme traîtres à la cause hutu. D'une durée de cent jours, ce fut le génocide le plus rapide de l'histoire et celui de plus grande ampleur en termes de nombre de morts par jour. Mais il convient de souligner qu'un génocide n'est pas qualifié comme tel en raison du nombre de morts, mais sur une analyse juridique de critères définis à l'époque par la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide du 9 décembre 1948 de l'ONU. Cette convention définit qu'un génocide est commis dans l'intention de détruire, tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux comme tel.
L(histoire du génocide Rwandais remonte à la colonisation de ce pays par les Belges; et quand on parle de génocide Rwandais on devrait dire plutôt génocide Tutsis...car c'est ces derniers qui furent massacrés; les colonisateurs Belges posèrent la "mèche" car lorsqu'ils arrivèrent dans cette contrée ils y trouvèrent deux groupes ethniques qui se différenciaient par le nombre et par le niveau d'activité et aussi physiquement; les Hutus représentant 95 % de la population vivant de chasse et de cueillette et physiquement de type "négroïde"; et les Tutsis représentant 5 % de la population vivant d'élevage et de plantation et physiquement de type élancés avec des visages plus fins de type Kenyans ou Somaliens.
Les Belges décrétèrent donc que les Tutsis étaient supérieurement intelligents par-rapport aux Hutus et devaient les commander...ils nommèrent même un roi Tutsis afin de servir d'intermédiaire avec le roi des Belges; inutile de dire que la haine s'installa chez les Hutus...et dans les années 90 la France voulant mettre la main sur le Rwanda pour installer la Françafrique dans la région des grands lacs s'y installa militairement mais comme ils le faisaient dans tous les pays qu'ils contrôlaient et comme par-exemple dans la capitale de la Françafrique : le Gabon où Omar Bongo qui était Bateke, une ethnie représentant 0,5 % de la population, ne pouvait pas gouverner sans l'appui de la France et sa résidence jouxtait le camp du 6ème BIMA qui jouxtait l'aéroport...et le président Habyarimana qui faisait face à une rébellion était Hutus et comme par hasard son avion de retour d'un sommet de l'OUA en Ethiopie fut abattu par une roquette à l'atterrissage à Kigali...les militaire Français et les casques bleus Belges présents à ce moment-là se rejetèrent la faute et dans le même temps la radio des "milles collines" commença à diffuser des messages d'appel au massacre des Tutsis rendus responsables de la mort de leur président et la mèche allumée par les Belges explosa entrainant un massacre de masse à coté du quel la shoah fut une rigolade...je me base sur les dire d'un haut-fonctionnaire Français présent au Rwanda à cette époque et aux témoignage de Rwandais alors que je me trouvais en Afrique centrale !!!
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Bonjour JBT20

C'est bien ce qui s'est passé de toute façon en Afrique les Africains ce massacre entre eux. Et ça dure depuis des décennies et dans tous leurs malheurs les seuls coupables c'est les blancs mais en fin de compte quand tu regardes bien ça a toujours été des guerres de religion ou ethniques.
Et nous à côté de tout ça on envoie le forces armées pour défendre le dictateur ou celui qui a fait le coup d'Etat

Messages : 1 Date d'inscription : 30/08/2021

pepette a écrit:: Je pense qu'il ont due oublier du monde, la CEA du 21eme Rima en compagnie Moto au Gabon ainsi que la 3eme Cie du 21 en centre Afrique...Source on y étaient tchek point à la sortie de Kigali...

En tant que combat/camera de l'ECPA , je confirme .

Messages : 31 Date d'inscription : 19/03/2021 Age : 56 Localisation : Ajaccio

bruno a écrit:: bonsoir les marsouins
Je suis Marsouin de base et j'ai signé 18 mois pour faire un VSLOM (volontaire service long outre-mer) et après ma formation à Fréjus au 4ème RIMA qui a été malheureusement dissous car c'était devenu un régiment d'appelé et si je dis malheureusement c'est parce-que ce régiment chargé de faits de guerre était à Bazeilles entre autres...je suis ensuite parti à Djibouti où j'ai été affecté au 10ème BCS; à ma libération ayant aimé cette armée, la coloniale, avec tout ce que ça comporte de traditions et de véritable cohésion ainsi que le fait que ça soit "carré" je voulais m'engager; mais j'ai eu l'opportunité de repartir en Afrique en tant que civil avec un salaire intéressant (6000 euros par mois) et dans le milieu des jeux de hasard et plus particulièrement des petites salles de jeux de 15 à 20 machines installées dans les quartiers populaires Africains (marchés, gares routières, etc...) au Cameroun, Congo-Brazzaville, Gabon, Mali, Angola et ma formation de Marsouin m'a servi lorsqu'il y avait du danger comme en Angola où nous sommes arrivé en Aout 2002 alors que la guerre qui avait duré environ 40 ans s'était terminée en Avril 2002...il y avait énormément d'armes en circulation et un AK 47 se vendait 200 $...
En 1994 lors du génocide au Rwanda que l'on doit appeler génocide des Tutsis car c'étaient eux qui étaient visés j'étais au Gabon et j'eus la vrai version par le biais de réfugiés Tutsis puis par la suite quand j'étais en Angola par un diplomate ancien ambassadeur de France à Kigali capitale du Rwanda au moment du génocide des Tutsis : à la base les premiers colons étaient les Belges et en arrivant au Rwanda ils trouvèrent deux ethnies, les Hutus de type Bantou représentant 95 % de la population et chasseurs-cueilleurs; puis les Tutsis représentant 5 % et éleveurs-planteurs de type longilignes avec des traits plus fins...les Belges décrétèrent que les Tutsis étaient supérieurs aux Hutus et devaient les commander...et donc ils posèrent une "mèche"...et en 1994 les Français qui voulaient mettre la main sur le pays étaient présents militairement à coté de l'aéroport ainsi que des casques bleus Belges car il y avait une rébellion dans le pays...pour ce qui est des Français, du temps de la Françafrique qui n'existe plus car actuellement se sont les Russes et les Chinois qui ont la main sur l'Afrique et ses ressources naturelles : on peut prendre l'exemple du Mali où après un coup d'état militaire la force "Wagner" est arrivée et a monté la tête aux locaux contre la France en l'accusant de tous les maux alors que nous avons perdu 53 de nos camarades pour les défendre...puis le Burkina Faso où le même scénario eut lieu et le Centrafrique où ils exploitent désormais les mines de diamants en faisant régner la terreur...et d'ailleurs au vote de l'ONU pour faire sortir la Russie des pays où les droits de l'homme sont respectés les pays Africains votèrent à 19 contre et 34 abstentions...le groupe "Wagner" tient son nom du compositeur de musique classique préféré d'Hitler, le chef des "Wagner", l'oligarque proche de Poutine : Projidine étant un adorateur d'Hitler...dis moi qui tu fréquentes...pour en revenir à la Françafrique les Français mettaient toujours à la tête de l'état un président issu d'une ethnie très minoritaire ainsi ce dernier ne pouvait pas gouverner sans l'appui de l'ancien colonisateur...au Gabon, tête de pont de la Françafrique, le président Bongo est issu d'une ethnie représentant 0,5 % de la population; et donc au Rwanda où le président de l'époque : Habyarimana, était issu de l'ethnie très majoritaire : les Hutus, les Français voulaient le remplacer par un Tutsis : Paul Kagamé qui est toujours en place; et donc l'avion du président Habyarimana qui revenait d'un sommet de l'OUA en Ethiopie fut abattu par une roquette à l'atterrissage...les Français et les Belges se renvoyèrent la faute et tout de suite les Hutus accusèrent les Tutsis d'avoir tué leur président et dans le même temps leur radio (la radio des mille collines aux mains des Hutus) diffusait des appels au meurtre et au massacre des Tutsis...et ça commença et il y eu entre 800000 et un million de morts en trois mois (à coté la Shoah c'est de la rigolade, et tout à la machette) et les soldats Français voyaient ce qui se passait et étaient comme des "chiens fous" car ils voulaient intervenir et auraient pu minimiser les pertes humaines...mais leurs supérieurs hiérarchiques dirent non !!!
Voilà donc la vrai version du génocide des tutsis, beaucoup de gens le savent mais on préfère fermer les yeux...

Le génocide au Rwanda est un génocide qui eut lieu du 6 avril au 4 juillet 1994 au Rwanda, un pays d'Afrique de l'Est. Il fut commis dans le cadre d'une guerre civile opposant le gouvernement rwandais, constitué de Hutu (voir Hutu Power), au Front patriotique rwandais (FPR), accusé par les autorités d'être essentiellement « tutsi ». Le 1er octobre 1990, des Rwandais exilés et regroupés au sein du FPR décidèrent de revenir au pays à partir de l'Ouganda, et de prendre le pouvoir par les armes. En réponse, les autorités rwandaises menèrent une double stratégie[réf. nécessaire] : se défendre avec l'armée contre l'agression militaire du FPR et « liquider » tous les Tutsi de l'intérieur du Rwanda. Les autorités rwandaises perdirent la guerre civile au profit du FPR mais atteignirent par contre leur objectif génocidaire contre les Tutsi.

L'ONU estime que quelque 800 000 Rwandais, en majorité Tutsi, ont trouvé la mort durant ces trois mois[1]. Ceux qui parmi les Hutu se sont montrés solidaires des Tutsi ont été tués comme traîtres à la cause hutu. D'une durée de cent jours, ce fut le génocide le plus rapide de l'histoire et celui de plus grande ampleur en termes de nombre de morts par jour. Mais il convient de souligner qu'un génocide n'est pas qualifié comme tel en raison du nombre de morts, mais sur une analyse juridique de critères définis à l'époque par la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide du 9 décembre 1948 de l'ONU. Cette convention définit qu'un génocide est commis dans l'intention de détruire, tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux comme tel.

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