Qu'est-ce que vous feriez à sa place ?

Non, le 21 eme a remplacé le 7eme , qui a ete dissous en 1977 ( ou 1994)

si mes souvenirs sont exacte, le 21 eme etait a sissone
A frejus il y avait le 7eme rima et le 4, une unite de l'areonavale a cote des subsistances

il y avait le 7eme rima, le ciitdm, le gitdm, il y avait aussi des appelés mais contingenté dans 1 batiment il nedevait pas être "mélangés" avec les engagés.
il y avait aussi des compagines d'instruction (don claplus part pour le7eme) mais desparas venaient faire des stages de je ne saispas trop de quoi et repartaient dans leurs regiments.

bien que j'ai une tres tres bonne memoire, j'ai quand même des lacunes;
Lesbatiment, ( configuration) je m'en rappele comme si s'était hier, certains noms aussi mais peu ceux des gradés, on diait " oui caporal,oui sergent , oui chef, oui mon lieutenant donc les noms ne sont pas bien resté, sauf quelques uns.

pour en revenir au fil du post,

Il y avait au camps Robert les stages de transmissions, du chiffre, la frac, l'infirmerie, au camp lecoq, les compagnies d'instructions, (classes, formation), le garrage, sur la grande route, le camp galieni, je n'y suis jamais alle donc connait pas.

le garrage est toujours visible de la nouvelle route, ( voir gogol maps ) tandis que le camp lecoq a part l'entrée et quelques vues (de loin) de batiments des compagnies.

je change de sujet, est ce quelqu'un sait si il y a une journee porte ouverte en 2011 (septembre)ou 2012, (bazeilles) au camp lecoq, j'ai rien trouvé de mon coté.

salut colonial

Le 7e RIMa était un Régiment d'appelés du contingent ?
Il était stationné à Fréjus à coté du 21e RIMa ? Non ?

Je viens de trouver ces liens au sujet du 7e RIMa
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Insignes 7e RIMa à vendre
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Tu as surement raison l'artilleur, au 7 eme rima quand j'y etais il y a eu de brimades et même bien plus grave pour certains "boulets"
Au R.I.C.M ou j'ai ete muté apres le 7eme, je n'ai ni vue, ni entendu qu'il y avait des brimades ou plus.
Bien au contraire, une bonne camaraderie, bien sur il y avait quelque margoulin, mais vitre remis d'equerre soit par les troufions, soit par les petits gradés.
Il y avait bien quelques coups de gueule et quelques permes qui sautaient pour pas grand chose, mais en principe s'était a force de remplir la coupe que ca finissait par un peter.

mais je confirme ( j'ai vu de mes propres yeux) qu'au 7eme il y avait des choses pas correctes du tout, ca venait surtout de simples soldats qui se la jouait les rambows devant le spetits gradés de l'encadrement en compagnie d'instruction.

Bonsoir les marsouins

Les brimades ne se passe pas en compagnie . En compagnie c'est la cohésion on fait les même OPEX les même crapahute on passe entre 2 a 5 ans avec le même marsouin dans le même groupe est section
Les brimades se passe dans les compagnie d’intrusion a la formation des jeune engager

J'ai côtoyé quelques paras colo et métro, même eux n'ont jamais connu de brimades ou de sévices sur leurs camarades ! Ca a toujours été la cohésion dans leurs compagnies.
Là sur le sujet du 17e RGP, on est sans doute sur un cas isolé.
De toute façon faut réduire au silence l'autre enfoiré qui fait ch*er son monde !

aujourd'hui je ne sais pas mais dans les années 70 il y avait des type qui s'engageaient pour eviter la tole dans le civil, ceci explique un peu certain cas, mais pour être juste, il faut faire la distinction entre un entrainement dure physiquement et des actes qui n'oont rien a voir avec l'entrainement militaire.

Je me rappele tres bien que lors du parcours du combattant, il etait interit d'aider un copain a sortir de la fosse, raison, si il est tout seukl comment fera t il pour s'en sortir.

mais je me rappelle aussi d'un etentative de me faire faire une corvée par un autre 2eme clase, tout nouveau j'ai donc fait sa corvéen ca ete la porte ouverte a un eprise de controle sur moi, mais vu mon carractere et que je suis loin d'êrtre manchot il m'a fallu le cogner pour qu'il me lache, masi ses copains ont rappliqués et a pusieurs s'est plus facile, la aussi je me les suis repris un par un au camion( celui qui vendait de sandwich/ommelette sur le chemin de terre) et ca tout arrête parce que le cap rugg... y a mis les hola, s'etait ou ca s'arrête ou j'en flinguais un au pas de tir.

ou les co.. de faire faire des pompes et faire dire des co.. sur les prents du troufion, ca n'a rien a voir avec l'entrainement physique pour muscler ses bras et ses epaules.

J'ai pas vu grand chose par rapport a ce que j'ai entendu apres, mais il y a u surement des abus, reste a voir jusqu'a ou ca a été les abus.
les " t'a pas fait l'algerie, ni les talvegues, t'es un co.." , et "les felagas s'étaient autre chose, ils faisaient pas de cadeaux, co..ds" et bein d'autre.

bref, je verrais peut être un "cas grave" fin aout.

Re,
Je te rejoins Bruno dans le fait que les brimades ont tjrs existées et existeront tjrs quelque soit le régiment.
Mais là, il y a quand même menace de mort sur la famille du jeune sapeur du 17 en + des brimades.
Colonialement
Aarona

Personnellement je n'ai jamais entendu parlé de ce genre de chose autour de moi

pourtant en 1993, plusieurs petits gradés de l'ex 7eme R.I.Ma sont passé en justice et certains ont ete lourdement condmnés pour Maltraitance, brimades, voies de faits, coups et blessures volontaires, menances de mort sous conditions et certains pour actes de tortures et de barbarie avec circonstances agravantes, ( personnes ayant autorite sur la victime)
il y avait du caporal au capitaine dans les condamnés.
je crois que l'humanite ( journalcoco) avait fait une serie d'articles sur le sujet , ( publié sur le net aussi par l'humanité dimanche), et d'autres joiurneaux aussi mais s'était de journeaux locaux.

S'est brai qu'il y a toujours eu le c.. de la section, mais de la a en arriver a des actes qualifiés de torture et de barbarie et cela pendant des mois pour certains, il y a une limite a ne pas depasser.

au mois d'Aout je vais (peut être) avoir accès a un dossier, ( judiciaire non jugé) d'une victime de l'époque du 7 eme R.I.Ma on va voir ce qu'il en etait vraiment.

Bonjour à tous,
J'ai été appelé à l'activité avec le contingent 78/02, les classes à la 2°Cie du BIMaT, puis j'ai servi au 502° BCSP pour m'engager ensuite au 21°RIMa. J'ai entendu parler de brimade mais je n'ai jamais été un témoin visuel d'agissement comme le sujet dont nous débattons.
Comme je l'écris sur un post précédent les temps ont changé : rapport écrit par voie hiérarchique, puis plainte avec un certificat médical avec ou sans jours d'ITT à l'appui.
Voila j'espère que cela ira mieux pour le jeune qui subit les brimades et que les auteurs seront poursuivis en justice.
Amitiés Coloniales
Aarona

Bonsoir les marsouins

Des brimade il en aura toujours quelque soit le Régiment . C'est au chef de corps a y maitre in terme
Et au commandant d'unité de faire une réunion a chaque début de classe de maitre en garde l'encadrement des jeune engager

Merci pour vos témoignages messieurs
Personnellement je n'ai jamais entendu parlé de ce genre de chose autour de moi par des appelés du contingent, engagés, VSL, VSLOM.

J'ai du mal à penser qu'au 21e siècle ça existe encore ce genre de brimade ......

Salut les marsoins,

c ame fait penser a un type que j'ai connu au 7eme R.I.Ma, comme il avait uneparticularité, il a ete le souffre douleur de quelques types du genre, ( moi je suis un dur de la colo), les petits gradés cabot, serrepatte laissaient faire et ca les amusaient,
le Lt considerait que s'était aps son probleme, et même le cpt a sanctionné la victime parce qu'elle a ete "abscente" une nuit, alors qu'il avait ete passé a tabac par 4 ou 5 dur de la colo et renfermé dans une malle en osier.
( pour bien prouver la veracite de mes dires, ceux qui ont connu le 7eme a frejus, savent bien qu'au demi sous sol il y avait un couloir ou il y avait la prison d'arrêt simple ( juste au pied de l'escalier et un couloir qui traversait toute la longueur de l'aile du batiment.

juste apres le " fourrier" il y avait un grand debarras avec un epetite pice fermant a cle) sur la droite.

le type avit ete passé a tabac et salement amoché, il a ete renfermé dans une malle en osier et cadenanssé, s'est que le lendemain dan sla matiné qu'un capo de service de semaine l'a trouvé.
Il a ete puni pour absence illégale par le capitain Rug..., plusieurs jours d'arrêts simple, plus corvée de sanitaire X jours et pas de perme X temps.
ce qui a conforté les salopards a continuer de plus belle jusqu'au jour ou ce type a ete retrouve complement ensanglanté attaché a un arbre lors d'une manoeuvre, ( il avait ete capturé par l'ennemi) et incapable de savoir qui il etait, ( une vrai seance de torture).

et en 93, (plus de 12 ans apres les faits) lors du proces des tortionnaires, il a tete appele a temoigner, ce qu'il a ete incapable de faire suite au treumatisme subit au 7 eme.

Alors ce qu'il y a faire dans ce genre de cas , se n'est absolument pas de regler le probleme soit même, s'est d'adresser lui même un e lettre recommandee au commandant du regiment, ( generalement un colonel) et de lui exposer les faits avec des preuves et de bien faire comprendre que si les brimades et autres mauvais traitements perdurent, il y aura denonciation au pres du cabinet du ministre de la defense.
un service specialisé existe bien et si il y a plainte et que les faits se reveèle reels, il y a des gros problemes pour toute la voie heiharchique du petit encadrement au commandant de corps.
et la y a pas photo, les hauts grades ne sont pas predisposer a morfler pour des conneries de sulbalterne.

Au fait j'en profite pour vous annonce quer mon ami du 7eme R.I.Ma ( qui lui aussi a morfle a cause des c..) je l'ai retrouvé et que je vais le rencontrer fin aout en gironde ou il s'est installé.

salut colo

Bonjour :
Que faire ????????? Bonne question!!!!!!!!!!!!!
Avec l'âge, la sagesse me dit d'aviser par rapport-écrit le Chef de Corps via le Cdt d'Unité pour une éventuelle plainte, car il y a quand même menace de mort.
Maintenant me connaissant à son âge, j'aurais réglé cela avec mes poings.
Attention tout de même les temps ont changés, il ne s'agit pas de passer du statut de victime à celui de mise en cause, car en réglant cela avec les poings, l'autre partie peut déposer plainte pour coups et blessures.
Amitiés Coloniales
Aarona

Bonsoir les marsouins

Je suis d'accord avec Le message de BTX . Elle doit en parler au chef de corps du 17 et au commandant de compagnie c'est les seul qui peu faire quelque chose et si sa ne marge pas elle doit porté plainte a la gendarmerie
Et si jais bien lui le gars a 25ans sa doit être un petit gradé caporal ou caporal chef . La mère ne doit pas léser faire sa surtout pas sa peu mal finir
Au 21e RIMA quand jais fais les classe au jeune on na u se problème avec des petit gradé des brimade au jeune engager on ne peu pas être toujours derrière pour voir se qui se passe surtout quand il sont seul avec les jeune engager . surtout si les jeune ne vienne pas nous en parler.
Ça a fini que les parent on porté plainte et le problème a été réglé dans la foulé . C'est la seul chose qui reste a faire

Le message de BTX, je cite :

Citation :

MAMAN94,
Votre histoire ou plutôt celle de votre fils n'est malheureusement pas un cas isolé. Il y a toujours dans les régiments 5 à 10 % de la population qui posent problème, toute catégorie confondue, officier, sous-officier, militaire du rang et personnel civil de la Défense.
1. Les faits se sont produits dans une enceinte miitaire. Il appartient de fait au commandement de prendre les mesures qui s'imposent pour "neutraliser" l'individu potentiellement dangereux (ce ne doit pas être d'ailleurs son premier coup d'essai).
2. Ne pas réagir c'est se voiler la face et le laisser agir demain sur un autre engagé volontaire qui sera son "souffre douleur". Si vous aimez votre fils, vous vous devez d'écrire au colonel commadant le 17e RGP en lui révélant précisemment ce qui s'est passé (lieu, date, horaire, personnes incriminées). De son côté, s'il aime sa mère et ce qu'il fait, votre fils doit par la voie hiérarchique demander le rapport de son chef de corps. Accompagné de son CDU et du PEVAT, il rendra compte alors sans pression aucune des agissemets de l'individu nuisible.
3. En attendant cela, votre fils doit voir le Président des EVAT. C'est son rôle de régler et d'alerter la hiérarchie sur tout acte délictueux de nature à attenter à l'intégrité physique d'un tiers.
4. Si les faits et les menaces se prolongeaient à l'extérieur de l'enceinte militaire, en accord avec le chef de corps mis au courant, il vous appartiendrait alors de déposer plainte auprès de la gendarmerie de Montauban qui saisira le Procureur.
BTX
NB. La plainte simple
Comment se présente une plainte simple ?
il n'y a pas de forme particulière . Vous pouvez rédiger une lettre avec accusé de réception dans laquelle vous exposez les faits dont vous êtes victime
Vous adressez la lettre :
- soit au procureur de la République du Tribunal de Grande Instance du lieu de l'infraction (vous pouvez vous renseigner pour connaître l'adresse du tribunal auprès de la police) ou du domicile de l'auteur de l'infraction, si vous le connaissez
- soit au commissariat de police ou à la gendarmerie le plus proche du lieu de l'infraction, qui transmettra votre plainte au procureur de la République après avoir effectué une enquête
Vous pouvez également déposer plainte au commissariat de police du lieu de l'infraction
Vous devez joindre les pièces (tout document à l'appui de votre plainte), s'il y a lieu
Envoyez des copies certifiées conformes (par un cachet de la mairie) et gardez les originaux
Quels en sont les avantages ?
il n'y a pas de forme particulière
vous n'avez pas besoin de qualifier l'infraction et de désigner le texte du code pénal applicable
il n'y a pas de consignation de somme d'argent
Quels sont les inconvénients ?
Le procureur de la République classe souvent sans suite les plaintes simples : il ne poursuit alors pas votre adversaire.
La procédure est longue.
Quelles sont les suites possibles de la plainte ?
Le procureur de la République est saisi de l'affaire.
Il peut :
faire mener une enquête par la police
classer sans suite votre dossier s'il considère qu'il n'y a pas lieu de poursuivre votre adversaire ou bien le poursuivre, s'il estime que l'infraction est constituée ; dans ce cas, ensuite :
votre adversaire sera jugé
les juges le condamneront ou non
vous pouvez faire appel de la décision si votre affaire a été jugée par le tribunal de police ou le tribunal correctionnel

Je suis entièrement d'accord avec lui

pour ce qui me concerne, je règle ça entre quatre yeux, je coince le salopart, et je lui met une bonne tête au carré, avant j'entretien bien ma forme, et mon moral, maintenant, appeler maman, " au secours, le monsieur il m'embête" c'est dérisoire, je ne cautionne pas le comportement du connard, il y en a partout, j'ai été confronté au problème, a plusieurs reprise au cours de ma carrière militaire, en formation d'EV, ou de saisonniers, (appelés), j'ai convoqué le gradé en cause, et bien recadré, en cas de récidive, c'est moi qui réglait le problème a mon niveau, certains petits gradés ne se sente plus pisser avec une malheureuse sardine. et au nom de Dieu vive la colo, et pour les autres mort aux cons.

Bonjour les Marsouins,


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Qu'est-ce que vous feriez si c'était votre enfant ?
Moi j'appellerais le Chef de Corps et demanderai conseil à la Gendarmerie Nationale.
Pas vous ?