bonsoir les marsouins
Histoire du camouflage militaire
Première Guerre mondiale[modifier]
Une technique simple est celle du "rideau de fumée". Selon la légende de cette photo d'archive il s'agit d'une opération de sauvetage de la Deutsches Heer camouflée par un brouillard artificiel, en 1917, sur le front de l'ouest (il pourrait aussi s'agir de soldats fuyant un nuage de gaz toxique)
Aux premières heures du conflit seules les tenues vestimentaires des armées britanniques, allemandes et des États-Unis adoptaient des couleurs dans différents tons de kaki qui rendaient les soldats moins visibles de loin.
Les premières utilisations du camouflage furent appliquées pour dissimuler les navires (principalement la Royal Navy), les avions (Certains avions allemands (Fokker) durant le premier conflit mondial utilisaient un décor fait de losanges de différentes couleurs afin de dissimuler les avions parqués au sol à la vue des avions d'observation ennemis), les chars d'assaut et les pièces d'artillerie.
Le camouflage individuel apparaît sur le casque des soldats allemands lors de l'adoption du nouveau casque, le Stahlhelm, introduit en 1916, les troupes de choc peignaient leurs casques d'acier de formes géométriques et de couleurs claires, rappelant les formes appliquées sur les avions, afin de dissimuler leurs silhouettes lorsqu'ils regardaient au-dessus du parapet.
Du côté français, certains attribuent aux travaux de Louis Guingot et de Lucien-Victor Guirand de Scevola la paternité du développement de cette technique dans les armées. L'armée française utilisa les compétences de différents artistes : Fernand Léger, Loÿs Prat, André Mare et Louis Abel-Truchet ; elle les réunit au sein d'une section, appelée "camoufleurs", sous le commandement de Lucien-Victor Guirand de Scevola promu lieutenant à cette occasion, cette section qui adopte au col des tenues un insigne en forme de caméléon, par référence au mimétisme de cet animal, dont un vivait en liberté dans l'atelier de Louis Guingot. La tenue du sous-officier Louis Guingot qui servit de test est exposée au musée de la grande guerre de Péronne (Somme). En 1918, les camoufleurs employaient 1 200 hommes et 8 000 femmes dans la fabrique de camouflage supervisé par le capitaine Lucien-Victor Guirand de Scevola.
C'est durant la grande guerre que les armées étrangères utilisèrent le mot français "camouflage" qui n'existait pas dans leurs langues
source Wikipédia
en FRANCE on na combien de camouflage 3 je pense
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Et au Nom de Dieu, vive la coloniale.